Mon mari est atteint de Insuffisance rénale chronique depuis octobre 2009. Au
01-02-2010, on a commencé pour une période de 6 mois le traitement par
immunosuppresseur et la cortisone. Mon mari réagissant mieux à la cortisone, la
néphro a décidé de prolonger ce traitement 3 mois supplémentaire (sous
cortancyl). Résultat : la protéinurie a bien diminué mais elle persiste encore.
Nous l'avons revu jeudi 05-11, et, elle a décidé de diminuer de manière très
progressive la cortisone. On surveille toujours les urines et nous la revoyons
dans 6 mois avec bilan sanguin complet. LeInsuffisance rénale chronique a
disparu mais il continue aussi à traiter l'hypertension artérielle, le
cholestérol et les triglycérides, calcium et protection de l'estomac.
Au quotidien, hormis comme vous des crampes régulières et une gêne oculaire,
il va bien.
Aucune cause n'a été retenue dans son cas et nous ne savons toujours pas ce
qui a causé cette maladie.
Mais, comme vous le dites si justement, il existe quand même un traitement
mais il est tout de même très agressif pour l'organisme.
Il faut garder le moral et vivre au jour le jour.
Immunothérapie À L’ Hôpital Rénale de Shijiazhuang
L'immunothérapie stimule les défenses normales de l'organisme afin que
celui-ci lutte contre la tumeur maligne et la détruise. C'est ce qu'on appelle
les réactions immunitaires. L'immunothérapie est un traitement qui consiste à
administrer des substances qui vont stimuler les défenses immunitaires de
l'organisme afin de lutter contre différentes maladies, en particulier certains
cancer hématologiques, les maladies dégénératives et les maladies de système.
Par extension, l'immunothérapie désigne également toute thérapie utilisant des
protéines produites par les Immunothérapie du système immunitaire, en
particulier les immunoglobulines, sans que l'objectif de cette thérapie soit
nécessairement la stimulation de l'immunité. À noter que l'immunoscintigraphie
est une application diagnostique reposant aussi sur l'utilisation d'anticorps
comme sonde spécifique, mais marqués par fluorescence ou radioactivité faible et
visualisés in vivo par imagerie. En immunothérapie, on utilise des anticorps
modifiés pour être, seulement mais de façon plus critique, « humanisés », afin
d'éviter les réactions de défense immunitaire parce que les quantités employées
sont justement plus fortes.
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